Le parc d'attractions Zombillénium, qui garde toujours prisonniers des dizaines de visiteurs, est convoité par de nombreux démons, chacun désireux d'en devenir actionnaire majoritaire. Seule méthode d'arbitrage acceptée de tous : le Sabbath Grand Derby, épreuve sportive aussi violente qu'inventive où s'affrontent cinq sorcières auxquelles vont être donnés en pâture les visiteurs du parc... Parmi les candidates, une certaine Gretchen, décidée à jouer son va-tout puisqu'elle ne peut compter sur l'aide d'Aurélien-Baphomet... Les spectateurs du Sabbath Grand Derby, retransmis comme un banal programme de téléréalité, vont en prendre plein les yeux ! Gretchen, elle, risque d'en prendre plein la figure... Le plus spectaculaire des tomes de Zombillénium vous attend, pour un final en apothéose, où l'action n'enlève rien à l'émotion ni à la critique sociale. Du grand art, dans tous les sens du terme !
Francis von Bloodt, vampire de son état, gère en bon père de famille le parc d'attractions Zombillénium. On n'embauche pas n'importe qui, chez Zombillénium : les simples mortels n'ont qu'à passer leur chemin, ici on ne travaille qu'avec d'authentiques loups-garous, vampires et momies. C'est ce que va découvrir Aurélien, un homme au bout du rouleau, trompé par sa femme ; et qui va se retrouver embauché malgré lui dans cette étrange entreprise. Gretchen, sorcière stagiaire, va l'aider à faire ses premiers pas... Après avoir débuté dans les pages du magazine Spirou, Arthur de Pins a multiplié les collaborations dans l'animation, l'édition et la publicité. Sa série à succès Péchés mignons, chez Fluide glacial, revisite avec humour les classiques de la BD coquine. Avec Zombillénium, il aborde un autre registre, celui de la comédie fantastique des plus loufoques, truffée de clins d'oeil, de références décalées et de répliques déjà cultes.
Tags sur les murs, avertissement du curé du coin : visiblement les esprits s'échauffent autour de Zombillénium. Quand on n'embauche que des morts (ou des sorcières !) dans une région où le taux de chômage est à 25%, il faut bien s'attendre à quelques frictions. Si l'on ajoute à ça des visiteurs une miette pénibles et des employés qui, pour être morts, n'en aimeraient pas moins prendre des vacances, on comprend que ce n'est pas trop le moment de venir parler revendications salariales à Francis Von Bloodt. Un deuxième tome qui vient étoffer le casting de Zombillénium avec Astaroth, le démon adolescent, et qui confirme, s'il en était besoin, le talent tout particulier d'Arthur de Pins à manier un humour noir totalement jubilatoire.
C'est l'effervescence au parc Zombillénium. Envoyé par Behemoth lui-même, le vampire Bohémond Jaggar de Rochambeau est officiellement censé seconder Francis dans sa gestion du parc. Inquiets, les employés s'attendent au pire : ne le décrit-on pas comme un authentique tueur ? D'autant qu'à y regarder de plus près, les motivations de sa venue semblent bien moins anodines qu'annoncées. Sa mission, c'est de faire du chiffre, pour les actionnaires, certes, mais surtout pour Behemoth qui, lui, attend son comptant d'âmes. Francis, ulcéré, est obligé de courber l'échine devant ce consultant tout-puissant, bien décidé à prendre le pouvoir et à pervertir les règles de Zombillénium. Tandis que se préparent pour le parc de sombres moments, Aurélien traverse une mauvaise passe. Déprimé par sa condition d'immortel et par l'absurdité de sa vie... pardon sa mort, il fait un burn out. Et un burn out, chez un démon aussi puissant, cela peut être dévastateur. Retenu in extremis par Gretchen, il évite le pire. Et cela tombe bien, car Gretchen a un projet pour lui... Un nouvel épisode de Zombillénium particulièrement mordant, dans lequel on découvre les dessous du parc d'attractions le plus monstrueux du monde.
Le parc Zombillénium ne s'est jamais aussi bien porté : sa cote de popularité atteint des sommets suite aux réformes démoniaques opérées par Behemoth, qui décide alors de jouer sa propriété au cours d'une compétition bien spéciale... Un sabbat de sorcières ! Gretchen, Aurélien et Von Bloodt ont quant à eux monté un réseau d'évasion clandestin afin d'offrir aux damnés la chance d'une reconversion, loin des neuf cercles de l'Enfer. Des opérations périlleuses, sous le manteau, qui ne font pas du tout les affaires des dirigeants. Déterminés à y mettre un grand coup de balai, ils s'offrent les services d'une redoutable enchanteresse qui donnera du fil à retordre à sa rivale attitrée : Gretchen. Sous terre comme dans les airs, le combat promet d'être épique !
Au lendemain du "Vendredi noir" à Zombillénium, les employés ont carte blanche pour dévorer les visiteurs, encouragés par la direction qui entend profiter de ces gains en nouvelles âmes. Pour contrecarrer les sinistres plans de Charlotte et Aurélien avec son réseau de résistance, Gretchen doit d'abord régler ses comptes avec son passé. Un avant-dernier tome rempli d'action et de révélations qui prépare l'apothéose finale de cette série culte.
"« Tournera, tournera pas ?... » Court métrage récompensé à maintes reprises, La Révolution des Crabes - avant de connaître une suite sous la forme d'un long - est adapté en bande dessinée : une trilogie caustique autour de la condition d'un crabe, le Cancer Simplicimus Vulgaris ! En effet... depuis 400 millions d'années, toutes les espèces évoluent dans la joie et l'allégresse. Toutes sauf une : le Cancer Simplicimus Vulgaris, ou crabe carré. Cette sous-espèce de crustacés peuplant les rivages de l'Estuaire de la Gironde est frappée, depuis des millénaires, d'une étrange tare : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher selon une même ligne droite ! Mais... Durant un été comme les autres, pendant que les vacanciers profitent du soleil et des congés payés, trois petits crabes carrés vont se rebeller, et bouleverser ainsi l'écosystème tout entier !".
"« La Marche du Crabe est une fable, donc les animaux sont le reflet des humains. Toutefois, chacun est libre d'associer ce qu'il veut au comportement des crabes. Certains y voient un message politique, d'autres un pamphlet anti-religieux. C'est aussi cela, mais surtout une histoire sur la norme et sur la difficulté de s'en détacher. » Arthur De Pins L'histoire en quelques mots... « Tournera, tournera pas ?... » Court métrage récompensé à maintes reprises, La Révolution des Crabes est adapté en bande dessinée : une trilogie caustique autour de la condition d'un crabe, le Cancer Simplicimus Vulgaris ! En effet... depuis 400 millions d'années, toutes les espèces évoluent dans la joie et l'allégresse. Toutes sauf une : le Cancer Simplicimus Vulgaris, ou crabe carré. Cette sous-espèce de crustacés peuplant les rivages de l'Estuaire de la Gironde est frappée, depuis des millénaires, d'une étrange tare : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher selon une même ligne droite ! Mais... Durant un été comme les autres, pendant que les vacanciers profitent du soleil et des congés payés, trois petits crabes carrés vont se rebeller, et bouleverser ainsi l'écosystème tout entier ! ".
"Sur les bords de l'estuaire de la Gironde, une variété de crabes - le Cancer Simplicimus Vulgaris ou crabe carré - est victime d'un caprice de l'évolution : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher toute sa vie selon une même ligne droite ! Mais un jour... trois d'entre eux - Soleil, Bateau et Guitare - vont réaliser qu'ils peuvent modifier le cours des choses et... tourner ! Ainsi naissent deux clans : les rigides (qui marchent tout droit) et les tourneurs (qui changent de direction). L'issue de cette bataille ne laisserait aucun doute quant à la victoire idéologique et stratégique des tourneurs, si le clan des rigides ne bénéficiait pas du soutien des autres espèces de la faune maritime qui se sentent menacées. Une tragédie qui se déroule sous la caméra de deux reporters - Dominique et Raymond - encore loin d'imaginer ce qui les attend... Lutte invétérée, origines révélées, marée noire, reste-t-il un espoir aux crabes carrés, espèce en voie de disparition ?".
Péchés mignons, c'est une certaine idée de l'élégance, doublée d'une
certaine idée de l'érotisme. Cochonne et coquine, glamour sans être
glaciale, sous la plume fluide d'Arthur de Pins, la sensualité de ces
petites pin-ups a conquis le coeur de ses lecteurs comme de ses
lectrices. Péchés mignons a définitivement réussi le mariage de
l'ingénuité et du charme !
Péchés mignons, c'est une certaine idée de l'élégance, doublée d'une
certaine idée de l'érotisme. Cochonne et coquine, glamour sans être
glaciale, sous la plume fluide d'Arthur de Pins, la sensualité bon
enfant de ces petites pin-ups a conquis le coeur de ses lecteurs
comme de ses lectrices. Péchés mignonsa définitivement réussi le
mariage de l'ingénuité et du charme !
Péchés mignons, c'est une certaine idée de l'élégance, doublée d'une
certaine idée de l'érotisme. Cochonne et coquine, glamour sans être
glaciale, sous la plume fluide d'Arthur de Pins, la sensualité de ces
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lectrices. Péchés mignons a définitivement réussi le mariage de
l'ingénuité et du charme !
Péchés mignons, c'est une certaine idée de l'élégance, doublée d'une certaine idée de l'érotisme. Cochonne et coquine, glamour sans être glaciale, sous la plume fluide d'Arthur de Pins, la sensualité bon enfant de ces petites pin-ups a conquis le coeur de ses lecteurs comme de ses lectrices. Péchés mignonsa définitivement réussi le mariage de l'ingénuité et du charme !
Courage, célibataires ! La voie du râteau est arrivée, et franchement, ça va tabasser sévère. Attention, point important : faire l'inverse de ce que vous recommande ce bouquin pourrait bien vous transformer en pro de la drague. Arthur de Pins esquive les femmes comme un torero, et de mémoire d'homme, jamais il n'a pris un coup de corne. On se demande s'il est timide ou ninja. Ou les deux. Mafia Mazaurette a préféré s'exiler à Berlin, où ses râteaux contribuent grandement à la dénatalité. En plus, comme elle ne comprend rien à l'allemand, c'est cool.