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Hugh Howey
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Dans un futur indéterminé, des survivants vivent depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l'abri d'une atmosphère devenue toxique. Seul un immense écran relayant les images filmées par des caméras les relie au monde extérieur. Lorsque cette société bannit l'un des siens, il est envoyé dehors, vers une mort certaine, et pourtant, tous sans exception vont, avant de mourir, nettoyer les capteurs des caméras. Pourquoi ? Une grande bouffée d'air (frais) dans la SF.
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En 2049, le monde est encore tel que nous le connaissons, mais le temps est compté. Seule une poignée de potentats savent ce que l'avenir réserve. Ils s'y préparent. Ils essaient de nous en protéger. Ils vont nous engager sur une voie sans retour. Une voie qui mènera à la destruction ; une voie qui nous conduira sous terre. L'histoire du silo est sur le point de débuter. Notre avenir commence demain. Deuxième volet, en forme de prequel, de la trilogie Silo.
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Donald a pris la place de Thurman. Juliette, quant à elle, est maire du silo 18, et compte en découdre avec les dirigeants du silo 1. Le compte à rebours commence. Donald parviendra-t-il à déjouer la logique macabre du silo 1 ? Juliette réussira-t-elle à s'échapper du silo 18 ? La vie sur Terre pourra-t-elle reprendre, ou s'agit-il d'un ultime leurre ? Avec Silo Générations, Hugh Howey apporte la touche finale à un cycle déjà culte.
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Depuis des siècles le sable a englouti le monde. Un autre s'est créé tant bien que mal parmi les dunes mouvantes, et les plongeurs des sables descendent à de grandes profondeurs pour remonter des ruines figées de l'ancien monde les trésors enfouis dont le troc permet la survie de tous à la surface. Ici, dans cette contrée constamment balayée par le vent, trois frères et une soeur se retrouvent loin les uns des autres. Leur père, qui appartenait à l'élite des plongeurs des sables, a disparu un jour sans aucune explication vers le No Man's Land, en les abandonnant. Et leur monde semble s'apprêter à en faire autant. Bienvenue dans Outresable, le nouveau roman de Hugh Howey, l'auteur de la trilogie Silo.
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Un groupe de cinq cents personnes a été envoyé dans l'espace pour coloniser une autre planète. Dans un état de semi-conscience, elles suivent une éducation qui leur est dispensée par une intelligence artificielle. À trente ans, elles seront parfaitement formées pour appréhender leur nouveau monde. Mais après quinze ans seulement, une explosion à bord du vaisseau tue la majorité d'entre elles et détruit la plus grande partie de leurs vivres. Pire, les soixante jeunes rescapés qui se réveillent ne possèdent encore que les connaissances les moins utiles à leur survie. Nus, terrifiés, les adolescents tentent d'utiliser l'IA pour mettre sur pied leur colonie, mais les luttes de domination font bientôt leur apparition, et ils découvrent que leur pire ennemi n'est ni l'environnement hostile, ni l'IA, mais que ce sont leurs pairs.
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Premier roman de Hugh Howey en six ans, "Outredune" nous ramène dans le monde d'"Outresable", dans un futur lointain, maintes générations après qu'un désastre a détruit la civilisation telle que nous la connaissons. Quatre frères et soeurs tentent désespérément de s'y forger un avenir parmi les étendues désolées d'un désert sans fin. Une suite haletante.
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Pendant des siècles, des hommes et des femmes ont été gardiens de phare et ont assuré la sécurité des bateaux. C'est un boulot solitaire et ingrat. Jusqu'à ce que quelque chose se passe. Qu'un bateau soit en détresse. Au 23e siècle, on pratique toujours ce métier, mais dans l'espace. Un réseau de phares guide dans la Voie Lactée des vaisseaux qui voyagent à plusieurs fois la vitesse de la lumière. Ces phares sont d'une solidité à toute épreuve. Ils sont construits pour être extrêmement robustes. Ils ne connaissent jamais d'avaries. En théorie...
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En 2049, le monde est encore tel que nous le connaissons, mais le temps est compté. Seuls quelques potentats savent ce que l'avenir réserve... Deuxième volet, en forme de prequel, de la trilogie culte "Silo", qui confère à l'univers imaginé par Hugh Howey une ampleur et une complexité saisissantes.
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Donald a pris la place de Thurman. Juliette, quant à elle, est maire du silo 18, et compte en découdre avec les dirigeants du silo 1. Le compte à rebours commence. Donald parviendra-t-il à déjouer la logique macabre du silo 1 ? Juliette réussira-t-elle à s'échapper du silo 18 ? La vie sur Terre pourra-t-elle reprendre, ou s'agit-il d'un ultime leurre ? Avec «Silo Générations», Hugh Howey apporte la touche finale à un cycle déjà culte.
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Dans un futur postapocalyptique indéterminé, une communauté d'hommes et de femmes a organisé sa survie dans un silo souterrain géant. Du monde extérieur, devenu hostile, personne ne sait rien, sinon que l'atmosphère y est désormais irrespirable. Les images de mauvaise qualité relayées par d'antiques caméras, montrant un paysage de ruines et de dévastation balayé de vents violents et de noirs nuages, ne semblent laisser aucune place à l'illusion. Pourtant, certains continuent d'espérer. Ces individus, dont l'optimisme pourrait s'avérer contagieux, représentent un danger potentiel. Leur punition est simple. Ils se voient accorder cela même à quoi ils aspirent : sortir.
Dans une nouvelle qu'il met en ligne en 2011, Hugh Howey décrit une société où l'on ne percevrait plus le monde extérieur que par le biais d'un écran. Peu après, devant le nombre de messages de lecteurs lui réclamant une suite, il imagine quatre nouveaux épisodes - donnant naissance à «Silo», devenu depuis un best-seller international.
Conjuguant un art consommé du récit et un infaillible sens du suspense, Hugh Howey a peut-être offert à la science-fiction son dernier classique en date. -
Partie 2 sur 2.
Dans un futur indéterminé, des survivants vivent depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l'abri d'une atmosphère devenue toxique. Seul un écran relayant les images filmées par des caméras les relie au monde extérieur. Lorsque cette société bannit l'un des siens, il est envoyé dehors, vers une mort certaine, et pourtant, tous sans exception vont, avant de mourir, nettoyer les capteurs des caméras. Pourquoi ? Une grande bouffée d'air (frais) dans la SF.