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Obaldia Rene
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Les Bons Bourgeois. Cette comédie a ceci de particulier qu'elle est écrite en vers, et s'ouvre à la manière des Femmes savantes. En hommage à Molière nous dit l'auteur. Mais la pièce est résolument moderne ; c'est, en fait, une grande comédie satirique de notre temps. Les Basson-d'Argueil, bons bourgeois installés douillettement dans leur luxueux appartement du XVIe arrondissement y sont pris au piège, tandis que dehors gronde la Révolution.
Grasse Matinée raconte l'histoire de deux squelettes, deux voisines de cercueil, qui discourent sur le présent, le passé et un avenir hypothétique. Une ligne de chemin de fer longe le cimetière, et c'est le passage des trains qui donne au temps sa ponctuation.
Décidément, Obaldia n'a rien perdu de son invention, de sa verve, de sa profonde originalité. -
Le cinquième tome des OEuvres Complètes pour le théâtre de René de Obaldia.
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Le troisième tome des OEuvres Complètes pour le théâtre de René de Obaldia.
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Fantasmes de demoiselles, femmes faites ou defaites cherchant l'ames soeur
Obaldia Rene
- Grasset
- Littérature Française
- 17 Mai 2006
- 9782246784623
René de Obaldia, poète, romancier, dramaturge, citoyen d'honneur de Waterloo, a été René de Obaldia poursuit son oeuvre merveilleuse, où l'innocence côtoie les amours, dans des formes autant littéraires que modernes. Trente ans après les Innocentines, il nous donne une manière de suite à ces poèmes légendaires qu'apprennent les enfants à l'école. Fantasmes de demoiselles est une série de variations obaldiennes sur les petites annonces amoureuses.
CHERCHE....
Beau jeune homme
Un malabar
Beau jeune homme ayant bon caractère
Un homme qui articule
Un jeune et beau curé
Un homme qui cogne
Beau jeune homme archaïque
Un homme vraiment laid
Un homme avec caniche
Un jeune homme décati
Un garde-chasse
Beau mec très peu porté sur les salamalecs
Un amant-éléphant
Beau jeune homme délicat
Beau chevalier
Bel hidalgo
Beau jeune homme fiévreux
Un mutant sexy
L'oiseau rare
Un gourou
Un agent double
Un homme déjà marié
Un homme tronc
Beau jeune homme au coeur pur
Une femme exquise
Un mec dans l'cinéma
Un huissier de justice
Un beau cuisinier
Beau jeune homme ayant de belles manières
Un homme vrai
Un aimable damoiseau
Un hurluberlu
Un Breton
Un célibataire endurci
Un homme in, crac, cult
Un bel officier
Un gentleman anglais
Un savant
Un homme de la brousse
Un homme genre gallo-romain
Un éphèbe
Un rigolo
Un honnête homme
Beau jeune homme écolo
Un homme bien en chair
Un homme considérable
Un poète
Un beau mâle pas catholique
Un psy
Un homme de paille
Un homme qui n'existe pas
Un académicien encore vert -
Un grand livre de René de Obaldia."Les petits oiseaux entretiennent l'amitié".
R. de Obaldia -
La femme d'Émile est enceinte. Son ventre va prendre une importance démesurée dans la vie d'Emile. Il l'obsède. Émile ne voit que lui : un ventre qui lui cache le reste de l'univers...
L'enfant naît et la triste vie d'Émile devient alors une tragédie.
Devant la place qu'occupe le nouveau-né, aussi bien pour sa femme, ses amis que ses collègues de bureau, Emile se sent délaissé, exclu, si dramatiquement rejeté "qu'il avancera correctement vers les royaumes de la folie".
Une passion cruelle, follement poétique et drôle.
Le romancier de Tamerlan des Coeurs, le poète des Innocentines, le mémorialiste de Exobiographie est aussi auteur dramatique. Son oeuvre théâtrale (sept volumes) est jouée dans le monde entier. -
Le deuxième tome des OEuvres Complètes pour le théâtre de René de Obaldia.
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Le premier volume des oeuvres complètes de René de Obaldia pour le théâtre.
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Ce quatrième tome du Théâtre de René De Obaldia regroupe les pièces : Le damné, Les larmes de l'aveugle et Urbi et orbi.
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Il était une fois... où l'auteur dramatique de Du vent dans les branches de sassafras et le romancier de Tamerlan des coeurs (le même homme !) se donnèrent le mot pour faire l'école buissonnière. Et écrire des poèmes. Ce furent les Innocentines.
Innocentines, enfantines, comptines... Moments de grâce où dansent les mots sans rides, où la fraîcheur de l'inspiration allie le rire à l'émotion. Source vive. Invitation à une cure de jouvence !
" Chez moi ", " La Sologne ", " Intimité ", " Le zizi perpétuel ", " Petite ritournelle impériale ", " Le plus beau vers de la langue française ", " Les cuisses de Colette ", " Le courant d'air ", " Les jumeaux de la nuit ", on aimerait citer toutes ces petites histoires, si légères, si drôles, pathétiques parfois, et dont chacune délivre un univers original.
Ces " Poèmes pour enfants et quelques adultes " sont un dimanche dans l'oeuvre d'Obaldia. Et, pour nous tous, une merveilleuse récréation. -
Chers lecteurs,
Je vais bientôt me quitter. Oui, disparaître de cette planète. Et il m'est venu à l'idée de rassembler moult pensées, citations, engrangées tout au long de mon existence, et de vous les léguer, dans l'espoir que pour vous aussi, elles seront source de réflexions, méditations, voire matière à rire et à pleurer.
Chers lecteurs, chers obaldiens, à vous, selon vos affinités, vos humeurs, de vous approprier une perle rare.
Je vais maintenant prendre congé de vous non sans vous gratifier d'un proverbe bantou : « Mon ami n'est pas mort puisque je vis encore. »René de Obaldia -
« Le comte René de Obaldia est vraiment un poète singulier et un être à part. Né en 1918 à Hong Kong d'un père panaméen et d'une mère française, élevé par une nourrice chinoise, prisonnier en Silésie pendant la guerre, cousin de Michèle Morgan, partenaire au cinéma de Louis Jouvet, commandeur de l'Ordre de Balboa, et marié à une belle Américaine, on dirait qu'il a toujours vécu dans un univers parallèle. Le pays du roi René est planté de chênes et de palétuviers, survolé par des geais gélatineux qui geignent dans les jasmins, peuplé de grands vizirs, de cosmonautes agricoles, de satyres bucoliques, de bagnards de Cayenne et de Zazie cybernétiques. On y parle l'obaldien. »Jérôme Garcin
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« Interprété par les plus grands acteurs sur les scènes parisiennes et étrangères comme par de nombreuses troupes d'amateurs, joué aussi bien chez les sapeurs pompiers que dans les hôpitaux, les usines, les foyers ruraux, les prisons, les lycées, les maisons de la culture, les casernes, les salles des fêtes municipales, les cou-vents, que chez les malades mentaux ou à l'Elysée (Deux femmes pour un fantôme, comédie psychosomatique, fut représentée devant Georges Pompidou et les membres du Parlement), René de Obaldia, sans pour autant s'encombrer de théories, ne nous offre-t-il pas un théâtre populaire ?
Dans maintes anthologies et encyclopédies où il figure d'abondance, c'est toujours la profonde singularité de l'auteur dramatique et du romancier qui est soulignée. Une oeuvre qui compte parmi les plus originales et les plus savoureuses de notre temps ».
(Dictionnaire de littérature française contemporaine) -
Du vent dans les branches de Sassafras
René de Obaldia
- Grasset
- Littérature Française
- 13 Novembre 2008
- 9782246784630
Hirsute, la voix cassée, il est un vieux dur à cuire, cow-boy sans peur et sans reproche, patriarche au sang chaud et aux propos musclés. C'est Rockfeller, personnage haut en couleur de cette parodie de western, mijotée avec humour et relevée d'une pointe de poésie par René de Obaldia... Il y a là le médecin ivrogne, la mère au solide bon sens, la fille de joie au grand coeur, le shérif justicier... Le texte est drôle, inventif, blagueur. Un western légendaire, mais aussi une parodie du western, avec ses splendeurs et ses misères&hellip.
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« Après avoir écrit, il y a un demi-siècle (sic), les Impromptus à loisir (Le Grand Vizir, Le défunt, Poivre de Cayenne, etc.), j'étais loin de me douter que ceux-ci continueraient de faire le bonheur des cours dramatiques et d'être joués un peu partout dans le monde, tant par les professionnels que par les nombreuses troupes d'amateurs. Aussi, aujourd'hui, fort de cette alliance avec le temps, j'ai repris la plume, trempée dans un encrier d'ironie et de tendresse, pour donner vie à d'autres petites pièces en un acte, plus obaldiennes que jamais ! Elles réjouiront encore, je l'espère, acteurs et spectateurs. » R.d.O.
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{Le Centenaire }(1959) ou les divagations d'un vieillard, la vaste épopée de la mémoire. Un roman bourré d'humour, de cocasseries délirantes, satirique en diable et virtuose jusqu'au moment où les sourds entendront, les paralytiques danseront.
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Théâtre Tome 6 : ... et à la fin était le bang monsieur klebs et rozalie
René de Obaldia
- Grasset
- Littérature Française
- 15 Juillet 2005
- 9782246025696
Le tome 6 des oeuvres complètes pour le théâtre de René de Obaldia.
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Le tome 8 des oeuvres complètes pour le théâtre de René de Obaldia.
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Comme tout un chacun, René de Obaldia s'est posé des questions sur la condition humaine. N'étant pas philosophe, mais, à la fois, poète, romancier et dramaturge, il répond à sa manière par un défilé d'images superbes empruntées à toutes les époques, où il mêle aux histoires quotidiennes " le bruit et la fureur " de l'Histoire. Sur la scène du monde, depuis les temps les plus reculés, on joue toujours la même pièce : celle de la passion, et l'Histoire assure une permanence de l'horreur et de l'absurdité.
Reste qu'un homme de notre temps est le héros principal de ce livre : Jaime Salvador, bourreau des coeurs comme Tamerlan fut celui des corps. Pour lui, séducteur au nom prédestiné, une femme se tuera et, se portant comme volontaire, il mourra à la guerre - finalement l'Histoire aura scellé son destin.
" Le plus beau moment de la production d'Obaldia, dit Maurice Nadeau de Tamerlan des Coeurs, une oeuvre bouclée, réussie et parfaite où jouent tout le charme, tout l'humour de l'écrivain. ". -
Ce volume rassemble quatre impromptus légendaires de René de Obaldia : Le défunt, Le grand vizir, La baby-sitter et Pous ses beaux yeux. Voici ce qu'écrivait Pierre Lepape à leur sujet : « Obaldia n'a pas eu besoin de comprendre que pour l'essentiel, le théâtre est un jeu. C'est sa manière de penser, de rêver et d'écrire... On commence doucement à se raconter une histoire, par exemple celle de deux femmes qui aiment un même homme et qui essaient verbalement de se l'arracher... Alors que celui-ci vient de mourir dans un accident de voiture... Ces pièces de théâtre gourmand se lisent avec autant de délectation qu'elles se voient, fabriquent et diffusent une manière de morale en creux faite de lucidité, de générosité attentive, d'intelligence sans calcul. Affonter l'angoisse contemporaine, refléter les peurs les plus profondes n'oblige pas à se morfondre ! ».
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Discours de réception à l'Académie française et réponse de Bertrand Poirot-Delpech
René de Obaldia
- Grasset
- Littérature Française
- 2 Novembre 2000
- 9782246784562
Le discours de René de Obaldia pour son entrée à l'Académie française, et la réponse de Bertrand Poirot-Delpech.
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« Alouette, vingt-deux ans, mariée trop tôt, et Zilou, étudiant pauvre vivant chez sa mère, rêvent de faire une fugue, afin de pouvoir s?aimer sans contrainte. Un ami leur a donné l?adresse d?une auberge solitaire à Waterloo. « L?air y est tonique, prétend-il, la viande incomparable. » C?est là qu?ils décident d?aller abriter leurs amours. Mais, sans le savoir, ils arrivent le jour des commémorations de la fameuse bataille?
Les voici tout à coup confrontés à l?Histoire. Bataillons de grognards, de hussards, de vétérans, de veuves napoléoniennes, pressant des aigles sur leur coeur, de culs-de-jatte glorieux leur font un étrange cortège nuptial : leur rêve tourne à l?hallucination.
Leur passion résistera-t-elle à cette tempête épique, aux soixante mille morts sous leurs pieds qui ne dorment que d?un oeil, à ce désastre qui est aussi, selon l?optique, une victoire ? »
René de Obaldia -
Nouvelle édition augmentée.
Dramaturge, romancier, " exobiographe " et poète, Obaldia, né à Hong Kong, ayant des ancêtres au Panama, est l'" homme du monde " par excellence.
La caractéristique de cet académicien atypique serait d'être dans ses livres comme dans la vie, cruel avec le sourire, tendre et grinçant à la fois, avec une sorte de fraîcheur qui est sa marque. En plus de pensées inédites, de son oeuvre ont été extraites des répliques qui font mouche et peuvent être lues comme des aphorismes ou des proverbes. Par un sens du contraste et par la force de l'évidence, Obaldia nous procure de l'émotion et nous étonne à la fois. Voici de l'humour étincelant.Oui, monsieur le président ; j'accuse mon âge.Elle avait une si piètre opinion d'elle-même qu'elle méprisa sur-le-champ l'homme qui venait de l'épouser.La vie manque de répétitions. C'est d'ailleurs pourquoi elle rate si souvent. -
René de Obaldia a décidé de rassembler l'ensemble de ses poèmes, dont certains sont inédits ou depuis longtemps introuvables. Recueil, anthologie, promenade poétique, {Sur le ventre des veuves} est tout cela à la fois : on y découvre des pièces de jeunesse, comme {Midi}, on relit quelques-unes de ses grandes tirades théâtrales... {Sur le ventre des veuves} est un ensemble grinçant parfois, rieur et plein de songes.