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Le Cri
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Marco Bodoni est écrivain. Auteur de romans policiers aux tirages fabuleux !
Il veut se débarrasser de cette étiquette. Il veut être reconnu à sa « juste valeur ». Il veut tuer son héros, l'Inspecteur Davies. Et passer à autre chose.
Après un dernier ouvrage dans lequel son personnage perd la vie (pas encore publié), il écrit uniquement pour le théâtre ... Un jour, lors d'un voyage international en train, une jeune femme vient squatter le compartiment qu'il a réservé. Malgré son machisme évident, il l'accepte. Elle n'est pas journaliste, elle est étudiante. Elle écrit un mémoire sur Marco Bodoni. Leur rencontre n'est pas due au hasard. Mais qui a vraiment suivi l'autre ? C'est l'occasion pour Bodoni d'une remise en question. C'est aussi la seule rencontre qu'ils auront. Elle a quelque chose qui lui appartient. Il le sait. Elle ignore qu'il le sait.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Fabrice Gardin est l'auteur de Destin (Théâtre du méridien, octobre 2005, éditions Le Cri), Une rencontre comme une autre (La Samaritaine, avril 2007, éditions Le Cri), Une vie d'infortune (L'Arrière-Scène, octobre 2008) et aussi Les inconsolables, Anna et L'Hôtel idéal.
Il a adapté Candide de Voltaire (Compagnie des Galeries, été 2002), L'assassin habite au 21 de S-A Steeman (Théâtre des Galeries, otobre/novembre 2008) et La Souricière d'Agatha Christie (Théâtre des Galeries, octobre 2009).
Avec Christian Lutz, il est l'auteur de deux romans, Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (éditions Le Cri, 2006) et Davies, la mort qui tue (éditions Le Cri, 2009). -
De leurs histoires vraies est née cette fausse histoire, et de leurs vulnérabilités s'est tracée l'histoire de Jacques qui détricote sa vie au rythme de l'alcool. De leurs routes concrètes a jailli ce parcours théâtral et poétique.
La mise en scène, lors de la création, introduisait un homme, la quarantaine finissant, costume-cravate, classe moyenne-sup, qui, tout en traçant sa vie, se dévêt, se lave et se rhabille. Une mise à nu rituelle dont le seul sujet restera, dans l'écriture comme sur la scène, cette toujours présente vulnérabilité...
À PROPOS DE L'AUTEUR
Stephen Shank a appris à cirer un parquet grâce à madame Andrée ; à coudre un ourlet grâce à mademoiselle Pauwels, à planter une pomme de terre grâce à Marcel, à voir et sentir la différence entre un pronom démonstratif et un pronom possessif grâce à mademoiselle Verdoodt. À poser les questions pointues sur son propre travail grâce à madame Cancelier, à voir le beau en toutes choses grâce à sa mère, et son père, qui lui imprimèrent le goût des mots et de leurs sens multiples, à rire fort et souvent grâce à ses frères et soeurs, à admirer l'homme grâce à Jacques et Jean. Il a appris à jouir de l'instant et à ne pas juger grâce à ses enfants. Grâce à sa grand-mère maternelle, il comprit qu'avoir des grands pieds donne un bon fondement a la vie. -
1957. Au milieu de la campagne toscane, une panne de voiture force un couple de Britanniques et leur ami belge à gagner le village le plus proche. Barbara souffre de la chaleur. Fred, son mari, peste contre le monde entier. Georges, lui, prend les choses avec bonhomie. Certes, le contretemps est fâcheux : ils ne pourront sans doute pas honorer le rendez-vous que leur a fixé le Saint-Père. Mais leur cohabitation forcée n'est-elle pas, après tout, une extraordinaire occasion ? Car en dépit de l'accueil chaleureux que leur réserve l'aubergiste Virgilio, une malicieuse partie d'échecs s'engage entre Georges Lemaître, chanoine et concepteur de la théorie du Big Bang, et Fred Hoyle, son opposant le plus farouche.
Basée sur des faits historiques, Sur la route de Montalcino s'en écarte avec une joie évidente pour explorer une rivalité intelligente et pleine d'humour. Traitant avec une légèreté déconcertante d'un problème aussi scientifique que le Big Bang, la pièce invite à une réflexion sur le sens de l'existence. Brillant, raffiné et drôle.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Maître en littérature française et en études théâtrales, ancien président du Théâtre Universitaire de Louvain (UCL), Jean-François Viot, auteur dramatique franco-belge, a débuté au théâtre à l'âge de quinze ans et a participé depuis lors à la création d'une trentaine de spectacles comme assistant, metteur en scène, comédien, musicien ou adaptateur. Sur la route de Montalcino, sa cinquième pièce, a reçu en 2008 le prix Verdickt-Rijdams de l'Académie Royale récompensant une oeuvre mettant en rapport les arts et les sciences. -
7 PIÈCES: Les Inconsolables (2004); Destin (2005); Anna (2006); Une rencontre (comme une autre) (2007); Une vie d'infortune (2008); Hôtel idéal (2009); Compartiment non-fumeurs (2009)
Les inconsolables :
Pour éviter d'attendre sous la pluie, quatre croque-morts et leur patron se retrouvent piégés au presbytère pendant la messe d'enterrement d'un important notable local. Ils tuent le temps en se racontant leur vie commune...
Entre vérités affligeantes et inventions aberrantes...
Destin :
Destin, c'est la rencontre de deux femmes. Dominique, une femme mûre qui croit connaître la vie, et Anna, une jeune femme qui sait ne rien connaître. Un soir en rentrant du travail, Dominique trouve Anna dans l'entrée de son appartement. Elle devrait la mettre à la porte de chez elle. Elle devrait appeler la police. Elle devrait avoir peur. Elle devrait courir chez le voisin... Elle l'accueille, l'écoute, la nourrit...
Anna :
Anna est une pièce de combat entre un frère et une soeur.
Un règlement de comptes.
Marco a créé le label « Anna Star », qui a transformé Anna en une vedette mondiale du show-biz. Suite à la mort de leur mère, ils se sont séparés.
Quatre ans plus tard, Anna revient. Mais le décalage entre leurs mondes a creusé un sillon infranchissable. Elle va détruire ce que Marco avait patiemment bâti durant leur séparation. Les dommages collatéraux sont irréversibles... et les deuils inévitables.
Une rencontre (comme une autre) :
Cette pièce nous plonge au coeur d'une rencontre improbable entre une femme qui vit avec ses certitudes depuis longtemps et un jeune homme qui n'accepte que l'instant présent.
Une vie d'infortune :
Voici l'histoire d'un homme sans nom. Un homme solitaire, méthodique et consciencieux, qui a appris son métier avec son père, comme un bon artisan. Un invisible qui accomplit ses contrats avec soin. Mais aussi un homme de principes, qui n'hésite pas à refuser certains objectifs.
Hôtel idéal :
Dans ce qu'on pourrait prendre pour la réception d'un ancien « grand » hôtel se trouvent Willis et Wallace qu'on pourrait prendre pour des réceptionnistes. Que font-ils dans cet hôtel ? Pourquoi occupent-ils ce lieu ? Ont-ils toujours été là ?
Nous sommes au coeur d'un affrontement dans lequel les mots sont des armes servant un questionnement perpétuel. Condamnés à parler, les deux personnages sont intégrés dans un processus qui empêche la moindre initiative. De dialogues absurdes en clients virtuels, ils avancent dans ce qu'ils pensent être la vraie vie.
Compartiment non-fumeurs :
Marco Bodoni est écrivain. Auteur de romans policiers aux tirages fabuleux !
Il veut se débarrasser de cette étiquette. Il veut être reconnu « à sa juste valeur ». Après un dernier polar, il passe à autre chose et se met à écrire uniquement pour le théâtre...
Un jour, lors d'un voyage international en train, une jeune femme vient squatter le compartiment qu'il a reservé. Elle est étudiante, elle écrit un mémoire sur... Marco Bodoni.
Leur rencontre n'est pas due au hasard. Mais qui a vraiment suivi l'autre ?
À PROPOS DE L'AUTEUR
Outre ses propres pièces, Fabrice Gardin a adapté Candide de Voltaire (Compagnie des Galeries, été 2002), L'assassin habite au 21 de S.-A. Steeman (Théâtre des Galeries, octobre/novembre 2008) et La Souricière d'Agatha Christie (Théâtre des Galeries, octobre 2009).
Avec Christian Lutz, il est l'auteur de deux romans, Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (éditions Le Cri, 2006) et Davies, la mort qui tue (éditions Le Cri, 2009). -
À l'instar des grandes adaptations qui ont été réalisées, notamment pour le cinéma par Murnau ou Coppola en passant par Herzog, celle-ci met l'accent sur les rapports humains qui égrènent le roman fleuve de Bram Stoker - ce qui pourrait apparaître comme gageure pour une fiction qui traite de morts-vivants !
Il s'agit pourtant ici des rapports d'amitié entre les jeunes Mina et Lucie, des rapports paternels entre le vieux sage Van Helsing et Mina, des rapports sociaux entre le marginal Renfield et les amis de Mina déterminés à vaincre le mal, bref d'un tableau-miroir de notre société qui revêt au cours de ce récit une force étrange.
Nous découvrons aussi un Dracula séculaire qui, face à une Mina séduite par la perspective de l'éternité (on songe bien sûr au mythe de Faust), doutera de son projet maléfique. Ainsi, la relation triangulaire entre Mina, Jonathan (son fiancé) et le comte Dracula, met en perspective les contraintes du temps qui s'écoule inexorablement face à la puissance de l'amour...
Les émotions et les sentiments qui nous préoccupent tous se voient ainsi traduits dans un conte destiné au plus large public, afin de susciter à la fois la réflexion et le plaisir d'une histoire et d'un mythe universels.
À PROPOS DES AUTEURS
Denis Leddet est né à Pau en 1960. Après des humanités classiques à Maredsous où il acquiert le virus littéraire, il fait ses études supérieures à Paris. Outre la direction d'une société industrielle de ventilation, il s'est investi activement dans le monde de la création ou de la production littéraire, en rachetant le costumier Maghet en 1990, et partenaire des éditions Le Cri depuis 1995. Il travaille actuellement avec Stephen Shank (auteur, metteur en scène) à la réalisation d'une trilogie de livres illustrés par Thierry Bosquet (décorateur, illustrateur), destinés à son fils Ferdinand et à la jeunesse en général. Hédoniste par nature, il met ses talents de cuisinier au service de ses amis, apprécie les cigares cubains et les parfums de création. Il vit à Bruxelles.
Christian Lutz est né à Léopoldville en 1954. Il a été administrateur de la Foire internationale du Livre de Bruxelles de 1984 à 1992. Il est notamment le co-auteur, avec Fabrice Gardin, du roman Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route, les prodigieuses aventures de Marx et Engels (2006). Il dirige les éditions Le Cri depuis 1981.