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Les témoins de l'art roman dans la région Auvergne (Allier, Puy-de-Dôme, Cantal, Haute-Loire) : architecture, sculpture, décor et mobilier.
Une approche nouvelle dans la vision de cette époque.
L'ouvrage est divisé en trois parties : Une société féodale - Un espace sacré - Des images figées dans la pierre.
L'ouvrage abondamment illustré de photos d'Hervé Monastier, et destiné au « grand public ». Le cadre choisi est celui de l'actuelle région Auvergne (départements de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme), avec des cartes permettant de localiser les édifices, département par département. Après une présentation géographico-historique, l'auteur évoque les chantiers avant d'aborder la question des grands types architecturaux et du décor monumental.
Extrait du Bulletin Monumental, 162-III, 2004. -
Le Puy-en-Velay ; ville d'art, d'histoire et de secrets
Paul Lutz
- Editions Créer
- 1 Novembre 2011
- 9782848194448
Le Puy-en-Velay ville riche par son histoire et ses monuments nous charme, nous fascine ! Dans cet ouvrage, le photographe Paul Lutz, grâce à un choix très personnel d'images d'un beau format, se propose de vous faire découvrir ou redécouvrir la cité mariale et devous faire partager ses coups de coeur pour cette ville hors du temps. Pour notre plus grand plaisir il a pu pénétrer quelques uns des secrets du patrimoine privé qu'il nous livre ici.
The city of Le Puy-en-Velay can delight andfascinate the visitor by its wealth of history and monuments !
In this book the photographer Paul Lutz offers a highly personal choice of images in hand some format that will allow the reader to discover or rediscover the city where Mary is worshipped. This work is the loving tribute of a photographer to a timeless city. For our greatest pleasure he has been able to unveil some of the secrets of the city's private heritage. -
Le diocèse du Puy-en-Velay, des origines à nos jours
Pierre Cubizolles
- Editions Créer
- 27 Juin 1905
- 9782848192727
Vers 350, Anicium, localité bimillénaire, chef-lieu de la « Cité des Vellaves », possède un noyau chrétien parmi l'élite urbaine, comme l'attestent les splendides bas-reliefs paléochrétiens, trouvés sur place. Pour s'occuper de ce petit troupeau, organiser le diocèse, Euodius (Vosy) est envoyé en ce lieu en qualité de premier évêque. Il est reçu dans la spacieuse demeure d'un notable chrétien, résidence qui servira de lieu de réunion à la communauté, où il présidera les saints mystères.
À la fin du Ve siècle ou début VIe, une église cathédrale est édifiée en haute ville. Au temps de l'évêque Aurèle, fin VIe, le groupe épiscopal anicien compte plusieurs basiliques, proches de la cathédrale, selon Grégoire de Tours. C'est alors que la campagne vellave commence à être évangélisée. Au siècle suivant est fondée l'abbaye du Monastier qui jouera un rôle important dans la christianisation du pays.
Aux temps carolingiens, les abbayes et monastères, collégiales, ermitages,... se multiplient. Des hôpitaux, léproseries, préceptoreries pour le mal des ardents,... vont naître. Des commanderies s'établiront.
Au début du Xe siècle, la Vierge d'Anicium attire déjà de généreux donateurs. Quelques décennies plus tard, l'évêque Gotescalc, au retour d'un pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle, rapporte l'ouvrage de saint Ildefonse sur la virginité de Marie et développe en ce lieu la dévotion à la Mère de Dieu. Depuis cette époque, le pèlerinage à la Vierge ne cesse d'attirer les foules de pèlerins. La ville prend alors le nom de Puy-Sainte-Marie et devient une étape très fréquentée sur le chemin de Saint-Jacques. Le pèlerinage grandit. Les malheurs qui s'accumulent sur le pays au XIVe siècle - guerre de Cent Ans, peste, famine, démence du roi, guerre civile, désarroi des consciences au cours du Grand Schisme d'Occident,... - intensifient la dévotion à la Vierge du Puy.
Le 25 mars 1407, jour où l'Annonciation coïncide avec le vendredi saint, la foule apeurée, croyant à la fin du monde, se rappelant les multiples malheurs survenus au siècle précédent, se précipite en se bousculant dans les rues de la ville pour aller prier à la cathédrale. C'est l'origine du jubilé du Puy. Depuis cette date, il sera toujours renouvelé, chaque fois que le vendredi saint tombera le 25 mars.
Les guerres de religion ouvrent une autre période sanglante. Le renouveau catholique se manifeste ensuite par une floraison d'oeuvres multiples et diverses.
La Révolution agrandit la superficie de l'ancien diocèse pour former le département de Haute-Loire, mais freine beaucoup l'élan religieux. Des prêtres réfractaires subissent la prison, la mort, la déportation.
Au tournant du XIXe-XXe siècle, la législation anticongrégationiste, la loi de séparation des Églises et de l'État, la fermeture des écoles privées, les Inventaires, parfois tragiques, se présentent comme des barrières difficiles à franchir. Mais la vitalité de l'Église diocésaine réagit, vitalité de bon augure pour surmonter les difficultés futures.
De nos jours, si les chrétiens sont moins nombreux, ils sont plus engagés. Cette constatation est un gage encourageant pour l'avenir. -
Connaissez-vous ces Auvergnats célèbres ? 1750-1850
Georges-léonard Hémeret
- Editions Créer
- 1 Août 1990
- 9782848191690
L'Auvergne est un pays pétri de lave profonde avec des volcans lunaires, des casinos victoriens, des truites légères et des eaux de Jouvence miraculeuses.
N'importe quel touriste sait cela après huit jours de routes entrelacées comme des spaghettis et de références criblées d'astérisques du Guide Michelin.
Mais peu de Français connaissent les Auvergnats. Le jugement populaire en fait des Écossais économes attachés à l'étroit quotidien avec pour seul souci permanent leur élévation sociale.
Jugement hâtif, lapidaire et combien superficiel !
Le livre de George-Léonard Hémeret élargit à la mesure de l'histoire les qualités de l'Auvergnat.
Et pour y parvenir, il n'a pas choisi le lyrisme échevelé des latins. Il n'a pas fait intervenir la nature, le ciel, la poésie ou les troupes arvernes.
Il a choisi une période trouble, fratricide, révolutionnaire.
Parfois en deux pages, quelquefois en dix lignes il ressucite les hommes hors série qui se fabriquèrent des vies extravagantes dépassant tout ce que l'imagination peut créer. Ces Auvergnats de la Révolution et de l'Empire ne sont ni avares de leur sang, ni étroits de leur coeur.
Leurs vies secouées à coup de guillotine et de canon ont ébranlé la royauté, les flottes ennemies et la constitution. C'est à l'épreuve d'une grande tribulation que se libèrent les qualités rentrées d'une race.
En lisant son livre on comprend tout. On sait qu'on peut être Auvergnat et passionné. -
Depuis les vastes étendues de l'Aubrac et de la Margeride jusqu'aux gorges du Tarn, en passant par les rives plus clémentes de la vallée du Lot, le Gévaudan est réputé pour ses paysages grandioses. Mais qui se douterait que le pays des Gabales est devenu la terre d'élection des croix de chemins ?
C'est pourtant la vocation qui s'y trouve affirmée, depuis plus d'un millénaire, par un incessant cortège de pèlerins qui sillonnent en tous sens des itinéraires réputés. Lointain héritier de la civilisation mégalithique et sensible aux apports celtiques, le symbole du christianisme a trouvé en Gévaudan le terreau indispensable à son plein épanouissement. La diversité de ses modèles de croix, perpétués à travers les siècles, ainsi que la préservation de ses sites naturels font du Gévaudan un pays exemplaire dans l'histoire de ce petit patrimoine. -
Les meres de la restauration et de la gastronomie francaise
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2018
- 9782848196336
Nous avons retenu les trois premières « Mères » qui ont le plus marqué le monde de la restauration et de la culture française sous la troisième République.
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La Mère Gloanec (1839-1915) fut la célébrissime "Mère des peintres" de l'École de Pont-Aven. Elle accueillit d'illustres artistes dans ses différents établissements "La pension des illustres" dont Paul Gauguin. Ce mythe vivant est devenue l'ambassadrice de la gastronomie bretonne. Marie-Jeanne fut immortalisée dans sa "Pension Gloanec". Vous allez découvrir le mond bretonnant de cette femme d'exeption qui est "La Mère de la restauration bretonne" : La Mère Gloanec.
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1789-1794 la révolution dans les districts de st-Flour et de Murat
Pierre Chassang
- Editions Créer
- 27 Mai 2008
- 9782848191751
L'un de ses récents ouvrages, « Les pays de Saint-Flour et de Murat, dits de Saint-Flour Haute-Auvergne, des origines au XVIIIe siècle » présentait les événements petits ou grands, heureux ou tragiques qui ont marqué vingt siècles de leur histoire, en faisant sans cesse référence à des exemples locaux, en mettant en évidence l'évolution ou la permanence des mentalités et de la diversité des problèmes rencontrés dans leur vie quotidienne par des ancêtres lointains ou proches.
Celui qu'il propose aujourd'hui aux lecteurs qui aiment ce pays et aux passionnés d'histoire locale est la suite chronologiquement parlant de ce dernier ouvrage. « 1789-1794 La Révolution dans les districts de Saint-Flour et de Murat » fait partager les heurs et malheurs d'une période critique de l'histoire et cependant riche, idéaliste et bienfaisante, parfois aussi violente et injuste, dominée ici par la création du département du Cantal, par la fixation de son chef-lieu et de ses subdivisions, les districts, par la mise en place d'une nouvelle administration, par le problème insoluble de l'approvisionnement en subsistances, par les contraintes de la levée en masse pour la défense de la Patrie, par la question religieuse surtout, facteur de division, qui provoque l'assentiment ou, au contraire, une résistance active à la Constitution Civile du Clergé et à la déchristianisation, par le comportement des élites, plutôt modérées, avec des différences notables cependant suivant les districts et les cantons, par le vandalisme, les délations, les atermoiements, les revirements d'opinion en fonction de la couleur du temps, mais également les actes courageux et les applications sages et intelligentes des mesures révolutionnaires capables de conduire la société vers plus de liberté, de justice, d'égalité...théorique. Toujours la relation des faits et dits s'appuie sur des exemples tirés des archives publiques, de papiers privés et d'actes notariaux passés au crible de la critique, avec les noms des personnages concernés, des lieux et lieux-dits où se sont déroulés les faits, dont la recherche dans le texte est facilitée par deux index.
Certes la Révolution ne s'arrête pas en thermidor an II ou juillet 1794. Mais malgré d'autres turbulences, elle s'essouffle après des Robespierristes, surtout dans cette région du Cantal. La masse des documents a incité l'auteur à ne pas dépasser cette date charnière pour proposer au lecteur un livre d'histoire aussi dense et complet que possible, respectueux autant que faire se peut de l'indispensable impartialité qui n'est pas indifférence. Que les époques troublées et dangereuses révèlent les hommes, ce livre en porte témoignage.
Qu'il soit permis à l'auteur d'adresser ses plus vifs remerciements à la dévouée et talentueuse Pascale Moulier, qui a dessiné, entre autres, les tours découronnées de la cathédrale en couverture : tout un symbole ! -
Histoire et présentation de la Basilique Saint-Julien et du quartier religieux au cour de la ville. Les toutes dernières recherches archéologiques de décembre 2003 et janvier 2004 sont étudiées.
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Les villes de Basse et Haute-Auvergne entre les deux guerres, décrites par une plume journalistique et savoureuse.
Une plongée dans le monde des six cylindres, du phono et de la TSF...
Reprint de l'édition originale de 1932.
Illustrations de Victor Fonfreide.
Plus de soixante-dix ans après sa première parution - en 1932 chez Jean Cussac -, le présent ouvrage a gardé intact son pouvoir de vie. Avec humour, d'une plume alerte, Maurice Prax s'attache à décrire une Auvergne à laquelle il reste indéfectiblement attaché. On passera ainsi du Puy-de-Dôme aux « petites villes cantaliennes »...
L'auteur sait à merveille baguenauder, fait revivre toute une époque entre les deux guerres, avec la TSF et le phonographe... S'attache, entre autres, aux petits couteliers de Thiers, « que l'industrie moderne n'a pas encore dévorés », note que « la moitié de la population » de Clermont-Ferrand, vit du pneu... Car l'Auvergne [qui] a horreur des gens pressés », garde toujours « son secret » si on se contente de la traverser.
Sensible à l'indicible beauté des paysages, mais aussi poussé vers les êtres, Maurice Prax relate bien des rencontres imprévues. Une intime émotion effleure au moment où il évoque la mémoire de son père et de ses deux frères. Qui reposent sous « coin de terre »...
De beaux dessins de Victor Fonfreide accompagnent le texte, le serrant de près. On y reconnaîtra l'univers original, la patte inégalée - dans sa sobriété vigoureuse - de l'incomparable artiste auvergnat.
François Mary
« ...un ouvrage qui va ravir les historiens auvergnats. Mais pas seulement eux : chaque Auvergnat, citadin ou rural, va trouver dans les mots de Maurice Prax des échos à son identité, à Thiers, Clermont-Ferrand, Riom, Aurillac, Vichy. (...Une) perle culturelle (...) »
La Gazette de Thiers
« Les bons mots de Maurice Prax résonnent comme autant de clins d'oil aux personnages et aux lieux évoqués, et l'on se délecte à la lecture de ce livre-là. (...) Un livre d'une étonnante modernité. »
Info -
Les "mères " auvergnates, triptyque gastronomique dans la vallée de Royat
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2017
- 9782848195827
Vous allez découvrir dans ce livre l'histoire d'un Triptyque gastronomique auvergnat. Vous suivrez, à travers les peintres, poètes et écrivains qui l'ont côtoyé, sa trace dans la Vallée de Royat. Partez à la découverte du monde merveilleux de La Mère Gagnevin « Patronne Des Romantiques », de La Mère Quinton « Belle Meunière », en passant par La Mère Mesure « Reine Du Dosage », trois figures
emblématiques du territoire qui sont arrivées jusqu'à nous. Elles ont laissé leur empreinte se transmettant des recettes de génération en génération. Ce Triptyque gastronomique a la particularité d'avoir vécu dans un petit coin de France où la nature prédominante et luxuriante était encore préservée aux portes de la capitale des Arvernes. L'Auvergne peut s'enorgueillir de posséder trois figures de
l'art culinaire où les potagers, les châtaigniers, la vigne et la cueillette des fraises rythmaient les saisons de nos fameuses aubergistes. Ces dernières ont croisé au cours du XIXe siècle des artistes venus de toute l'Europe pour découvrir ce village romantique ou cette nouvelle station thermale. Les paysages décrits par le monde des arts et des lettres nous en disent long sur l'univers de ces trois femmes attachantes. Laissez-vous envoûter par cette trinité du bonheur : la gastronomie, l'art et la nature. Elle résume la vie de ces personnages et l'Auvergne éternelle.
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Saint amable, un tableau de jean-baptiste collet - la legende de saint-amable, bibliographie raisonn
Ducoing Jean-Louis
- Editions Créer
- 1 Avril 2012
- 9782848194134
En 1803, le peintre Jean-Baptiste Collet quitte Paris avec
sa famille pour s'installer à Clermont-Ferrand. Issu du milieu
des ébénistes d'art du faubourg Saint-Antoine, il a reçu une
bonne formation artistique à l'Académie royale et grâce à ses
deux maîtres les peintres Jean Bardin et Jacques-Louis David.
En Auvergne, il va se consacrer aux portraits, aux paysages et
réaliser pour plusieurs églises du Puy-de-Dôme des tableaux que
nous pouvons encore découvrir à Saint-Amant-Roche-Savine,
à Plauzat, à Gouttières. Une toile est exposée au musée Roger
Quillot.
L'ouvrage analyse une de ses oeuvres peinte en 1812 pour
l'église de Chaméane. On peut constater que ce Saint Amable
prend en compte les représentations populaires mais il va
bien plus loin. On reconnaît les emprunts à ses maîtres et à la
Renaissance italienne. On découvre un vrai tableau néoclassique
comme le veut l'époque de David.
En Auvergne, Jean-Baptiste Collet a été considéré au début
du XIXe siècle comme un artiste majeur. Oublié, il mérite d'être
réhabilité. Parler de ce peintre, c'est participer à la redécouverte
du patrimoine régional.
La seconde partie du livre rassemble une large bibliographie
sur la légende de saint Amable, patron de la ville de Riom. Cette
légende le fait naître au cours de l'Antiquité tardive, en 400, à
l'époque mérovingienne. Le peuple du Moyen-âge est avide
de récits fabuleux. Les hagiographes en ajoutent à l'envi. A la
fin du XVIIe siècle, on assiste à un renouveau du culte et à un
affrontement très violent entre les chanoines de Riom et ceux de
Clermont à propos du lieu de la mort d'Amable. Ces récits et ces
querelles vont donner lieu dans cet ouvrage à une interprétation
historique et non pas hagiographique, l'idée centrale étant
que toute légende révèle des éléments de vérité non pas sur la
personnalité de son héros ni sur ses aventures mais sur la manière
de vivre, les attentes, les représentations des hommes pour qui a
été créée puis enrichie cette légende. -
Si Châtel-Guyon, petite ville située à une vingtaine de kilomètres de Clermont-Ferrand, entre Limagne et montagne, n'est pas née du thermalisme, elle a prospéré grâce à lui. Cette station s'est greffée à un ancien bourg vigneron, ce qui constitue sa singularité. Châtel-Guyon a connu un essor fulgurant entre 1890 et 1930.
Même si les débuts du thermalisme furent marqués par une rude guerre des sources, dont Guy de Maupassant s'est fait l'écho dans Mont-Oriol, cela n'empêcha pas la mise en place de toute une infrastructure indispensable à l'accueil d'un tourisme médical et ludique : établissements thermaux, casino, parcs et promenades, palaces et hôtels de voyageurs. Parallèlement, la créativité des architectes se manifesta avec la réalisation de demeures pour lesquelles la fantaisie, le pittoresque et parfois l'audace furent de mise.
Ainsi, une véritable « fièvre thermale » toucha les médecins, industriels et banquiers qui investirent dans le développement de la cité et participèrent à la métamorphose du modeste village en une station thermale internationale fréquentée par une clientèle huppée.
Une analyse des constructions, des goûts décoratifs et artistiques des commanditaires, accompagnée d'une abondante iconographie, avec notamment des vues anciennes qui transportent le lecteur hors du temps, invitent à porter un autre regard sur un patrimoine remarquable, d'une richesse méconnue qu'il convient de préserver. -
Saint-Flour ; histoire d'une forteresse, histoire d'une cité ; des origines au début du XXIe siècle
Pierre Chassang
- Editions Créer
- 1 Novembre 2011
- 9782848194110
Ce livre propose au lecteur la première histoire de Saint-Flour qui embrasse la période s'étendant de l'implantation du village gallo-romain du Bel Air jusqu'à l'époque contemporaine, avec un luxe d'illustrations, dont beaucoup sont inédites.
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Jeudi 2 septembre 1943... 18 h 30... À la maison d'arrêt de Riom la surveillance s'organise comme chaque soir pour assurer la garde de nuit du Général de Lattre de Tassigny. Là-haut, au Il étage du 31 bâtiment, les gendarmes G.M.R. prennent position dans le dortoir contigu à la cellule du prisonnier. Dans le couloir, le garde Roger Ramey, fusil mitrailleur au poing, se tient en permanence devant la porte de la cellule... Dans la rue Valmy, sur la place Desaix, la gendarmerie nationale s'affaire...
Et pourtant à 18 h 30 la décision vient d'être prise...
C'est pour cette nuit !!!
Dans sa cellule, en compagnie de sa femme et de leur fils Bernard, la général prend les dernières dispositions et rappelle les consignes, Le compte à rebours commence... La nuit sera longue... Dimanche 17 octobre 1943... « ici Londres...Chat-huant bien arrivé... embrasse moineau et pinson... Il veut que pinson devienne colibri... »
45 ans après ces événements, un riomois témoin de son temps, raconte en détail le minutieux mécanisme imaginé et mis au point par le Général, sa femme et leur fils Bernard, magnifiquement secondés par une équipe dynamique et soudée de jeunes entièrement dévoués à leur chef.
La longue nuit du général - Un récit clair et transparent qui mettra fin définitivement à une polémique sur les circonstances de cette évasion et l'identité des personnages qui y participèrent. -
Lavaudieu ; les trésors d'une abbaye
Anne Courtillé, Stéphanie Masseboeuf
- Editions Créer
- 27 Août 2009
- 9782848193960
Au XIe siècle, après avoir fondé l'abbaye de la Chaise-Dieu, saint Robert de Turlande installa un prieuré de bénédictines dans un creux vallonné et riant, au bord de la Sénouire. Au fil des siècles, le monastère se développa et devint une importante abbaye, que les religieuses ne cessèrent d'embellir. Le visiteur peut encore admirer aujourd'hui l'exceptionnel cloître roman - le seul subsistant en Auvergne - aux proportions harmonieuses et aux chapiteaux à feuillages ou à figures ; mais aussi l'ancien réfectoire décoré d'une immense fresque d'inspiration byzantine du XIIe siècle. Dans l'église Saint-André se déploie un extraordinaire ensemble de peintures murales du XIIe au XVIIIe siècle, dont certaines n'ont pas d'équivalent (« Mort Noire » XIVe siècle, « Martyre de Sainte Ursule XVIe siècle).
Ce livre invite le touriste et l'amateur d'art à découvrir ou redécouvrir Lavaudieu, haut lieu de l'Auvergne romane. Anne Courtillé retrace d'abord l'histoire du monastère, puis pas à pas, décrit les bâtiments. Elle en explique les décors sculptés ou peints, faisant ainsi le point, après plusieurs campagnes de restaurations, sur les dernières découvertes. Le remarquable mobilier n'est pas oublié : Christ roman, Vierge de pitié en pierre du XVIe siècle, nombreuses statues en bois polychrome... -
La maison rurale en Artois, Boulonnais et Calaisis ; contribution à un inventaire régional
Philippe Decroix
- Editions Créer
- 1 Octobre 1989
- 9782848191935
Cet ouvrage présente les Pays d'Artois, Boulonnais et Calaisis. L'aspect général de la maison rurale artésienne boulonnaise, calaisienne. Les matériaux et éléments du bâti.
Une descriptions régionale : Arrageois - Plaine de Lens - Mélantois - le Ternois - le Béthunois - le Haut Pays d'Artois - le Boulonnais et le Pays de Licques - Audomarois - Pays de Saint-Omer et la plaine de la Lys - le Calaisis - Montreuillois - Hesdinois - Bas Champs. Bibliographie et sources. -
Personne ne peut affirmer que le 20e siècle a été le plus chargé de l'Histoire mais il a été le plus riche en évènements d'importance mondiale : deux guerres qui ont fait des millions de morts, deux idéologies qui en ont coûté plus encore et qui ont mis des dizaines d'années avant de disparaître, l'explosion des naissances, les trente glorieuses, la disparition des grands bassins d'emploi, une urbanisation précipitée, une nouvelle civilisation qui se met en place en tâtonnant...
La liste paraît interminable et pourtant elle est encore incomplète.
Vivre cette époque a été d'exception. Cet ouvrage n'a pas une vocation historique. Il relate l'existence d'un témoin qui découvre ces bouleversements avec des yeux d'enfant, témoin d'évènements qu'il voit naître ou accompagne avec ses émotions, ses passions et, au bout, la curieuse impression de deviner le livre des souvenirs s'ouvrir toujours aux mêmes pages.
Alors, de tout, de ce témoignage unique, il importait un fil conducteur.
Laissons-nous conduire. C'est l'amitié qui nous prend par la main..
Après avoir été volontairement occultée, cette période de l'Histoire est revenue au premier plan.
Alors, quel peut être l'accueil réservé à un acteur de ces bouleversements qui ont laissé un monde à la recherche de sa vérité??...
Philippe ROUCARIE se promène tout au long du siècle et nous offre son témoignage simple parfois, émouvant toujours mais chargé, avant tout, d'espérance.
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La belle epoque - les trois belles gloires francaises
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 1 Janvier 2016
- 9782848196015
La Belle Époque est incarnée par les trois « Belles » Gloires Françaises. Cette « French Touch » avant-gardiste se compose d'un trio de choc qui a marqué, entre autres, le monde de l'hôtellerie et de la restauration françaises. Elles sont les ambassadrices d'un univers idéalisé par les touristes internationaux. La recette est fort simple : prenez de la gastronomie, ajoutez-y des hivernants, des artistes, des demi-mondaines, sans oublier notre ruralité, saupoudrez le tout des arts et lettres et vous obtiendrez ce mets délicat qui incarne l'art de vivre à la Française. Présentez l'ensemble sur un plateau d'argent de la Belle Époque et le tour est joué. Vous aurez ainsi mis en valeur cette France à la fois insoumise et rigoureuse, corsetée dans ses traditions ancestrales et du « qu'en dira t-on ». Cette Trinité des bons vivants que ces personnalités incarnent depuis plus d'un siècle dans la gastronomie, la culture et les sentiments, sont devenues d'immenses figures féminines qui, sans le vouloir, ont traversé le siècle. Femmes modestes au destin remarquable, elles sont, ici, réunies pour la première fois, vous offrant un premier aperçu de ce triptyque féminin exceptionnel qui reflète, à tout jamais, les « Belles » de « La Belle Époque » : « La Belle Angèle », « La Belle Otero », « La Belle Meunière ».
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De « La Belle Époque » aux « Années Folles », nous vous présentons les trois plus grandes figures de la gastronomie traditionnelle de notre grande région. Elles ont marqué de leur empreinte, par leur personnalité hors du commun, le monde de la restauration. Leur célébrité a largement dépassé les frontières de leur territoire. La première, « La Mère Quinton », l'Auvergnate la plus connue au monde, fut cette belle meunière de notoriété internationale. Soeur douairière gardienne de cette fabuleuse histoire d'amour entre le Général Boulanger, « L'Empereur des amoureux » et La Vicomtesse de Bonnemains, « La Dame aux oeillets rouges », elle devint un mythe vivant. La seconde, également d'origine auvergnate fut, de par son incroyable renommée au cours de « La Belle Époque », la première « Mère » lyonnaise la plus connue de France : « La Mère Fillioux ». Enfin, la dernière, décorée de la Légion d'Honneur, icône nationale pendant « Les Années Folles » pour son dévouement auprès des soldats, n'est autre que : « La Mère Bizolon ». Trois Femmes et trois histoires à la fois si différentes et si communes. Trois destinées qui marquent à tout jamais la gastronomie française.
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La Capitale des Gaules peut s'enorgueilllir de posséder l'une des plus prestigieuses "Mère" de la restauration française. La Mère Fillioux (1865-1925) fut "L'impératrice des Mères lyonnaise". Ce mythe vivant est devenue l'ambassadatrice de l'art culinaire lyonnais. Elle fut immortalisée comme "La reine des Poulardes", surnomée également "La Balayeuse". Vous allez découvrir cette femme hors du commun qui fut, à la Belle Époque, la figure gustative incontournable de cette bonne ville de Lyon. La capitale mondiale de la gastronomie a trouvé en elle sa digne représentante. Gageons que notre protagoniste saura vous séduire et vous offrir l'envie de passer à table
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La Maison Boucheix raconte l'histoire d'une vieille famille de la Basse-Auvregne dont les origines du nom remontent au XIIIe siècle avec la seignneurie du Boucheix. Cette lignée vit deouis le Moyens-âge au pied des volcans d'Auvergne sous la protection des évêques et comtes d'Auvergne avant de s'intégrer progressivement au Royaume de France.
La branche des Boucheix de Saint-Pierre-Roche restera enracinée jusqu'à la fin du XXe siècle dans ses traditions chrétiennes. L'un des personnages charismatiques qui viendra définitivement clore cette période millénaire de christianisation intense et Monseigneur Boucheix. Leurs terres rudes et nourricières expriment la ruralité de cette noble paysannerie de moyenne montagne qui exploitera différents domaines agricoles tout autour de la Chaîne-Des-Puys. Si l'agriculture est une constante à travers les siècles, l'univers de l'agroalimentaire sera l'une des composantes de cette famille dépositaire d'un certain art de vivre auvergnat. A partir de la seconde moitié du XIXe siècle, le monde de l'hôtellerie et de la restauration fit les beaux jours de certains d'entre eux. Dans la grande traditions du terroir français, les Boucheix portent en eux l'Auvergne en héritage. Ils incarnent aussi bien la sainte trinité de l'art, de la nature et de la gastronomie, mais surtout "l'Auvergne éternelle", porte-drapeau de "La Maison Boucheix". -
Boucheix - l'auvergne en heritage - nos ancetres les gaulois
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 3 Avril 2020
- 9782848196909
C'est l'histoire d'une vieille famille auvergnate, issue du peuple des Arvernes, qui vit dpuis des temps immémoriaux au pied de la Chaîne des Puys.
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Les Mères Lyonnaises - Les reines Mères de Lyon, Fillioux - Bizolon - Brazier
Bernard Boucheix
- Editions Créer
- 3 Avril 2020
- 9782848196688
Il était une fois trois Reines pour un Roi qui régnèrent au cours du XXe siècle dans cette bonne ville de Lyon. Ce dernier, bienveillant auprès de nos « Mères », était devenu un « Monstre sacré » : Paul Bocuse. Quant aux trois premières qui l'avaient précédé, elles ont marqué au fer rouge le coeur des hommes de la cité du Primat des Gaules. Nos Lyonnaises ont eu le privilège de se succéder dans leur notoriété : « La Mère Fillioux » pour « La Belle Époque », « La Mère Bizolon » au cours des « Années Folles » et enfin, « La Mère Brazier » durant « Les Trente Glorieuses ». De cette grande épopée de « Mères » gauloises du siècle dernier, « Le Père Bocuse » clôtura le bal. Vous allez découvrir ce que fut la sainte trinité des Mères Lyonnaises qui ont brillé au firmament d'une renommée devenue mondialisée. Les armoiries de la capitale des Gaules, composées de trois fleurs de lys pour un lion, leur étaient prédestinées. Chacune a marqué historiquement la cité internationale des papilles. Ce triptyque d'exception est une invitation au voyage culinaire. De la simple buvette au restaurant de luxe en passant par la restauration bourgeoise, la caste des ouvriers, notables et jet-setteurs se retrouve dans ces trois personnages emblématiques. Leur ville a fait du plaisir de la table un art de vivre culturel où trône la convivialité. Trois mondes pour trois femmes, trois patronnes pour un chef, trois merveilles pour une ville.