Ce ne sont ni des mémoires ni une somme autobiographique. C'est juste un homme qui parle. Mais pas n'importe qui : Daniel Wildenstein, 82 ans, empereur et patriarche des marchands d'art. Basée à New York, la Wildenstein Inc. s'adosse à un stock évalué en milliards de dollars, qui balise près de six siècles de peinture. Petit-fils de Nathan, fils de Georges, « Monsieur Daniel » - c'est ainsi qu'on l'appelle à son institut ou sur les hippodromes - est donc le troisième maillon de la dynastie de marchands de tableaux la plus puissante au monde, et la plus secrète qui soit. Depuis près d'un demi-siècle, et du bout des lèvres, Daniel Wildenstein n'acceptait de parler que de ses chevaux. De rien d'autre. Il ne répondait à aucune question, à aucune attaque, à aucune polémique. Une véritable abstraction vivante. Pour la première fois de son existence, il a brisé son mutisme légendaire. Aujourd'hui, il nous raconte « quelques petites choses vues, entendues ou vécues ». Passent alors dans le paysage : Clemenceau, Picasso, Maurice de Rothschild, Randolph Hearst, Bonnard, Malraux, Paul VI et « quelques » autres... Daniel Wildenstein nous convie à une promenade intime, à travers des instants de sa vie, des portraits, des récits, des éclairages, des révélations, des réflexions. Et promène son oeil aigu de faucon pèlerin sur la fabuleuse planète des arts.
La première biographie qui retrace l'itinéraire littéraire, affectif et amical de Paul Valéry. Le poète sensuel de «Charmes» , l'apologue du silence dans «Monsieur Teste» , l'ami de Gide et de Pierre Louys, esprit novateur et inclassable séduit par le symbolisme, a épousé avec génie les contradictions de son siècle.
La révolution d'Octobre et les convulsions de la guerre civile en Russie, l'affrontement de l'Occident avec Staline et les grandes affaires d'espionnage de la deuxième moitié du XXe siècle, l'assassinat de Nicolas II et une Seconde Guerre mondiale fort buissonnière, un portrait insolite du général de Gaulle et une guerre d'Algérie présentée sous un angle entièrement nouveau, tels sont les points forts d'une fresque autobiographique saisissante de puissance et d'ampleur.
Mais l'auteur est d'origine russe, et des interrogations poignantes sous-tendent ce flot d'événements exceptionnels et cette galerie de personnages hors du commun. Le pouvoir ne s'exerce-t-il pas aux frontières du crime, comme le suggèrent les révélations d' Un espion dans le siècle sur les opérations les plus secrètes des services spéciaux du gaullisme ? L'espionnage n'implique-t-il pas un dédoublement dramatique mais enrichissant de la personnalité ? La littérature consiste-t-elle seulement à fabriquer des feuilletons ou à chasser le prix Goncourt ?
Éditeur et dernier monstre sacré de l'espionnage, « l'une des personnalités les plus influentes, d'après Le Monde, des débuts de la Ve République », Constantin Melnik a réalisé une étonnante prouesse littéraire. Homme de l'ombre et du mystère, il a réussi à donner une forme originale à l'une de ces grandes autobiographies qui, denses et ensorcelantes, se lisent, riches d'histoire, comme le plus passionnant des romans.
Parce qu'ils étaient Résistants, ils sont tombés aux mains des Nazis. Ils ne savaient pas où on les conduisait. Chacun a vécu une saison en enfer, ils sont morts par milliers. Aujourd'hui, les survivants racontent comment les choses se sont réellement passées. Pour qu'une trace demeure, et que ce soit celle de la vérité.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
« Vingt années d'histoire contemporaine » est un nouvel exemple de cette méthode, appliquée cette fois à une période et à un champ plus vastes. Les causes profondes de la guerre de 39-45, le bilan d'une victoire amère par plus d'un côté, les tâtonnements d'une paix qui se cherche entre les lobbies américains et les divers partis communistes, le cheminement de Washington et de Moscou vers un rendez-vous qui ressemblera à celui de Yalta, ces questions trouvent ici une analyse lucide, qu'éclaire une documentation de premier ordre. Et l'auteur, qui croit fermement au rôle historique déterminant des hommes d'État, nous donne de Roosevelt, Churchill, de Gaulle, Staline, Hitler, Mao Tsé-Toung, etc. des portraits qui les replacent dans leur contexte historique.
Cette touche personnelle - ainsi que certaines révélations capitales, notamment sur la rupture Est-Ouest en 1948, et les origines de la guerre de Corée - font de cet ouvrage un livre d'Histoire qui s'imposera à l'attention des spécialistes, comme à celle du grand public cultivé.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
La chance... Même les plus fats, les plus sûrs de leur valeur, se font humbles devant elle. Tous sans exception. Il n'est pas de jour où on ne les surprenne - dans les médias - en flagrant délit de modestie : sans un minimum de chance, disent-ils, on n'arrive à rien. Si on les pousse un peu, ils veulent bien admettre que, dans n'importe quel domaine, pour réussir, il est bon d'avoir aussi du talent, du courage, de la persévérance, de la passion, mais quand même... Ils n'en démordent pas : au départ, il faut un minimum de chance. Bon ! D'accord ! Message reçu ! Mais... s'il vous plaît, où trouve-t-on cet article ? À cette question, les clients privilégiés répondent également d'une seule voix : nulle part et partout. À n'importe quelle minute, sous n'importe quel déguisement. Merci du renseignement. Rien d'autre ? Oh si ! Ce livre...
Ce n'est pas Christophe Colomb qui a découvert l'Amérique. Ce sont, bien avant lui, les Polynésiens. On a trouvé des restes de leurs pirogues au nord du Chili. Il faut donc croire que ces intrépides navigateurs n'hésitaient pas à traverser l'Océan, dans le sens opposé aux vents, sur des embarcations de fortune, des radeaux faits de bambous, et munis de voiles de pandanus.
Cette hypothèse qui, au premier abord, paraît invraisemblable, Éric de Bisschop, le célèbre explorateur des mers, a voulu la vérifier en entreprenant, lui-même, la plus extraordinaire, la plus périlleuse des reconstitutions historiques. Après avoir minutieusement préparé son voyage, et construit une embarcation rigoureusement identique à celles qu'utilisaient, autrefois, les Polynésiens, il a quitté Tahiti avec quatre compagnons. Il a mis le cap sur le Chili... Et l'aventure a commencé.
L'auteur de Kaimiloa retrace ici les étapes de sa passionnante « expérience », et nous livre son journal de bord. Du chantier polynésien, où le radeau est conçu et réalisé, jusqu'à sa destruction, tout près du but, par une gigantesque tempête, Éric de Bisschop nous fait revivre les heures tragiques - et parfois comiques - de cette odyssée de la Préhistoire. Son récit aidera le lecteur à mieux imaginer quelles doivent être les épreuves et les joies d'Éric de Bisschop et de son équipage, qui effectuent - en ce moment même - le voyage de retour, Amérique du Sud - Tahiti, toujours à bord d'un « Tahiti-Nui » !
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
MÉMOIRES DE TALLEYRAND
C'est toujours le personnage qu'il a voulu être qui parle, avec la gravité et la hauteur du doctrinaire, en homme sûr de ce qu'il sait. Il raconte en historien objectif et en juge grave les choses d'autrefois dont il a été le témoin ou parfois l'acteur. Dans ses Mémoires, Talleyrand emploie le ton souverain de l'histoire.
Émile HENRIOT, de l'Académie française (Le Monde)
Les Mémoires de Talleyrand restent un document essentiel sur la société française et les grands personnages de son temps. Cette nouvelle édition nous offre un appareil documentaire remarquable. Nous pouvons enfin replacer ces Mémoires introuvables à côté des plus grands.
Christian MELCHIOR-BONNNET (Historia)
MÉMOIRES DE RÉMUSAT
Ce livre de bonne foi, où l'auteur témoigne de la plus magnifique liberté d'esprit, nous ouvre des perspectives nouvelles sur une période passionnante de notre histoire, qui est celle des balbutiements de la liberté. Les analyses de Rémusat tiennent également de l'homme d'état et du philosophe et elles procurent une rare jouissance intellectuelle.
Paul BASTID, de l'Institut (L'Aurore)
Ce témoignage est d'un tel intérêt et d'une telle qualité qu'on s'étonne de le voir publier aujourd'hui seulement. Et quant au style de Rémusat, il est l'un des plaisirs de cette lecture : quelle facilité, quelle élégance dans la noblesse et quelle discrétion souveraine !
R. G. NOBÉCOURT (La France catholique)